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L'ascenceur de l'enfer - Feat Evan Rosier▸ Mar 31 Déc - 1:13
Invité
L'ascenceur de l'enfer
Alina et Evan
Une rencontre dû au hasard
J'étais en retard, encore. Vraiment les horaires c'étaient loin d'être mon fort, malgré les nombreuses alarmes que j'avais réglé pour me lever tôt. J'avais un rendez-vous important au Ministère pour régler une affaire d'héritage suite au décès de mes parents. Les papiers avaient été long et je ne comprenais pas pourquoi ça prenait autant de temps alors que j'étais fille unique. Les fratries ça devaient vraiment être l'enfer pour régler ce genre de détail, surtout s'il y avait conflit d'intérêt. Heureusement ils m'avaient évité ça et c'était mieux ainsi, j'avais bien d'autres soucis à régler dont retrouver les mangemorts qui avaient fait irruptions dans leurs maisons.
Je n'avais pas le temps de prendre soin de mon apparence, déjà que le café sur le chemisier pour faire bonne impression avait du être changé. Tout allait mal aujourd'hui, pourtant c'était loin d'être un vendredi 13. Parfois je détestais ma vie, là encore plus. Je pris note que je n'avais presque plus de poudre de Cheminette, cela suffirait pour le trajet mais il fallait penser à passer au chemin de Traverse que je m'en rachète un pot neuf.
Il était neuf heure quand j'arrivais enfin dans le grand Hall du Ministère, bondé évidement. Il y avait une queue particulièrement longue au guichet des enregistrement et je sentais l'angoisse prendre corps, pourvu que ma magie ne fasse pas des siennes, surtout ici. Je n'avais pas très envie d'aller faire un tour au bureau des aurors pour attentats à vrai dire.
L'hôtesse d'accueil fut aussi agréable qu'une porte de prison, à vrai dire je la comprenais un peu, devoir répéter inlassablement la même phrase à longueur de journée, il y avait de quoi rendre dingue. Comment pouvez t-on choisir ce genre d'avenir ? Cela me dépassait.
Mon petit badge bien en évidence sur le chemisier propre et ma baguette enregistrée, je me dépêchais de trouver un ascenseur pas trop pleins pour pouvoir me rendre enfin dans le bureau qui m'attendait. Les travailleurs poussées, les notes voletaient autours de ma tête dans un tourbillon qui me donnait presque la migraine quand la petite cage se vidait au fur et à mesure que l'on montait dans les étages.
Je regardais fixement le miroir derrière mon dos afin de replacer quelques mèches de cheveux quand je vis une silhouette connue s'engager dans la mini pièce. Il ne manquait plus que ça. Rosier. Vraiment j'ai déjà dit que c'était mon jour de chance aujourd'hui ? Un ancien camarade, si on peut appeler ça comme ça, que je détestais cordialement. Le petit aristocrate sang-pur parfait de serpentard, détestable d'arrogance. Je lui jetait un regard noir, l'invitant à ne surtout pas m'adresser la parole et à faire comme si je n'étais pas là quand soudainement un bruit sourd fit tanguer l’ascenseur et je manquais de tomber si je ne m'étais pas rattrapée à sa cape.
La cage ne semblait plus être en mouvement et les lumières s’éteignirent soudainement, nous plongeant dans une lumière rougeâtre avec un bruit sourd d'alarme. C'est pas vrai, j'étais en retard et voilà que le truc tombait en panne. Comment un ascenseur magique peut tomber en panne d'ailleurs ? Et pour ce genre de chose arrive toujours quand on est pressée, en retard et surtout avec une personne dont on ne voulait surtout pas voir.
Ma main se dirigea brutalement vers le bouton rouge que je pressais à coup de poing pour que cela reparte, rien.
- C'est pas vrai, fichu magie de merde...
Je n'avais pas le temps de prendre soin de mon apparence, déjà que le café sur le chemisier pour faire bonne impression avait du être changé. Tout allait mal aujourd'hui, pourtant c'était loin d'être un vendredi 13. Parfois je détestais ma vie, là encore plus. Je pris note que je n'avais presque plus de poudre de Cheminette, cela suffirait pour le trajet mais il fallait penser à passer au chemin de Traverse que je m'en rachète un pot neuf.
Il était neuf heure quand j'arrivais enfin dans le grand Hall du Ministère, bondé évidement. Il y avait une queue particulièrement longue au guichet des enregistrement et je sentais l'angoisse prendre corps, pourvu que ma magie ne fasse pas des siennes, surtout ici. Je n'avais pas très envie d'aller faire un tour au bureau des aurors pour attentats à vrai dire.
L'hôtesse d'accueil fut aussi agréable qu'une porte de prison, à vrai dire je la comprenais un peu, devoir répéter inlassablement la même phrase à longueur de journée, il y avait de quoi rendre dingue. Comment pouvez t-on choisir ce genre d'avenir ? Cela me dépassait.
Mon petit badge bien en évidence sur le chemisier propre et ma baguette enregistrée, je me dépêchais de trouver un ascenseur pas trop pleins pour pouvoir me rendre enfin dans le bureau qui m'attendait. Les travailleurs poussées, les notes voletaient autours de ma tête dans un tourbillon qui me donnait presque la migraine quand la petite cage se vidait au fur et à mesure que l'on montait dans les étages.
Je regardais fixement le miroir derrière mon dos afin de replacer quelques mèches de cheveux quand je vis une silhouette connue s'engager dans la mini pièce. Il ne manquait plus que ça. Rosier. Vraiment j'ai déjà dit que c'était mon jour de chance aujourd'hui ? Un ancien camarade, si on peut appeler ça comme ça, que je détestais cordialement. Le petit aristocrate sang-pur parfait de serpentard, détestable d'arrogance. Je lui jetait un regard noir, l'invitant à ne surtout pas m'adresser la parole et à faire comme si je n'étais pas là quand soudainement un bruit sourd fit tanguer l’ascenseur et je manquais de tomber si je ne m'étais pas rattrapée à sa cape.
La cage ne semblait plus être en mouvement et les lumières s’éteignirent soudainement, nous plongeant dans une lumière rougeâtre avec un bruit sourd d'alarme. C'est pas vrai, j'étais en retard et voilà que le truc tombait en panne. Comment un ascenseur magique peut tomber en panne d'ailleurs ? Et pour ce genre de chose arrive toujours quand on est pressée, en retard et surtout avec une personne dont on ne voulait surtout pas voir.
Ma main se dirigea brutalement vers le bouton rouge que je pressais à coup de poing pour que cela reparte, rien.
- C'est pas vrai, fichu magie de merde...
(c) DΛNDELION
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