Le Deal du moment : -29%
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 ...
Voir le deal
499.99 €


Les sœurs Black'S au manoir Malfoy

Invité
Invité

avatar



Les sœurs BlacksJe veux te protéger avant tout ! Je t'aime BellaCissy et BellaMon époux partit en mission j'avais en charge de préparer les festivités mondaines qui pourraient avoir lieu au manoir Malfoy, Lucius m'avait demandé d'en mettre pleins les yeux. Toujours pur, toujours plus plus plus. Je comprenais le désir de mon mari de vouloir briller en société et de montrer qu'ont avaient tout, qu'il était capable de tout posséder et même le monde dans une poignée de main. Je ne vais pas mentir j'étais devenue hautaine et j'étais matérialiste, j'aimais les belles choses, le luxe, l'or et l'argent (Surtout l'or blanc en tant que parfaite insatisfaite). Lucius s'occupait de moi comme une princesse et je n'aurais pu tomber mieux, je plaignais ma pauvre sœur Bellatrix que j'aimais par dessus tout incapable d'ouvrir son cœur à ce pauvre Rodolphus qui ne demandait que ça. Je soupçonnais parfois mon ainée d'être amoureuse d'un autre homme. Du fondateur pour être plus précise mais je n'ai jamais osé partir sur ce terrain là, je savais que l'égo de Bellatrix en prendrait un coup et la faire souffrir était loin d'être mon but. Elle s'ouvrirait à moi lorsqu'elle en aurait trop sur le cœur. Ma famille était un bijou très précieux. Mon mari ma sœur, et ce futur enfant auquel nous nous aventurons parfois à rêver Lucius et moi. J'avais cette pression épouvantable de devoir lui offrir un fils, je ne voulais pas le décevoir comme l'avait faite notre mère à Bella et à moi, j'étais persuadée que c'est ce qui avait détruit leurs couples, leurs amours,  ils restaient ensembles uniquement pour se faire bien voir sur le papier, mais à l'intérieur... La petite bulle d'amour n'était plus présente depuis longtemps, si Bellatrix et moi avions tout fait pour les rapprocher ce n'était pas le cas de cette horrible Andromeda... Elle ne me manquait pas, nous n'avions pas besoin d'elle puisque Bella et moi ne formions qu'un à deux. Quant à la fécondation de ma sœur aux cheveux ténébreux je me demandais souvent si elle comptait m'avouer qu'ellene comptait pas engendrer d'héritier. Bella était une femme tellement mystérieuse que je l'admirais toujours autant qu'étant enfant. Sa force de caractère si belle en soit m'effrayait de temps en temps. La toile de Lucius m'avait emprisonnée dans ses filets mais je m'étais laissée faire, je ne pense pas que beaucoup d'aristocrate aient la chance si grande de tomber amoureuse de leurs époux né d'un mariage arrangé. Je m'étais préparé pour accueillir ma sœur, ma robe sombre de soie, mon châle en dentelle noire ainsi que mes gants de satin montraient encore une fois que je ne laissais rien aux hasards. Dobby, l'elfe de maison préparait soigneusement le thé dans ce service de porcelaine tout en chouinant encore une fois si j'essayais d'être douce avec lui, ce n'était pas le cas de Lucius qui ne cessait de se moquer de lui, souvent pour me faire rire et cela marchais. Les petites douceurs gourmandes posées avec soin par la créature aux grandes oreilles ne désiraient qu'à être dévorés, je regardais par la fenêtre et j'attendais la visite de celle qui embellissait mon enfance. Je tentais toujours de l'accueillir personnellement, je voulais qu'elle se sente ici chez elle, que ce soit un lieu de protection et un domaine où la demoiselle pourrait venir se réfugier en cas de crise de son horrible belle famille, comme elle se plaisait à les appeler. Je continuais de croire que Rodolphus n'avait pas eu la poigne qu'il fallait pour dompter la divine ténébreuse lorsqu'une silhouette que je connaissais plus que de coutume  venait d'apparaître. Je me précipite pour ouvrir la lourde porte et l'accueillir avec toute la tendresse dont je suis capable, si personne n'a pu donner de l'amour à cette diablesse, je m'étais promise de toujours être là pour elle, qu'importe ses faits et gestes, qu'importe ses choix et ses habitudes. Qu'importe ses crimes, j'étais l'ange-gardien de ma sœur, elle était mon âme sœur. Le sourire aux lèvres, vérifiant que mon allure d'aucun faux plis. Je ne faisais aucunement honte aux valeurs des Malfoy, je la regardais venir vers moi le regard bienveillant un brin mesquin en sachant pertinemment que d'autres auraient reculés d'un pas. C'est donc avec un certain amusement que je l'accueillais et que j'attendais d'être enivrés du parfum de ma tendre et aimé sœur.
:copyright:️ DABEILLE
Invité
Invité

avatar



Black sisters
bella & cissy
« Ma chère Bellatrix, reprenez donc encore un peu de thé. ». Cette phrase, la belle ténébreuse la connaît par cœur pour l’entendre quotidiennement et à diverses reprises. Elle en est venue à haïr cette boisson chaude. Elle ne peut plus voir la moindre tasse de thé sans que cela ne lui retourne l’estomac. Peut-on être à ce point dégouté d’un breuvage pourtant si coutumier en Angleterre au point de souhaiter le vomir à la moindre gorgée ? Ou bien est-ce plutôt la présence constante de son acariâtre belle-mère ? Bellatrix est obligée de la supporter quotidiennement alors qu’elle n’aspire qu’à la tranquillité. Elle rêve de lui lancer le sortilège de mort afin de mettre fin à ce calvaire. La vie de femme au foyer n’est déjà pas une partie de plaisir, mais en plus de cela, devoir supporter la mère de son époux… Elle donnerait tout pour que le maître l’envoie en mission pendant plusieurs jours, mais elle sait que s’il fait cela, il sera obligé d’en faire de même avec Rodolphus. Si elle part seule, cela soulèverait des questions et beaucoup trop de suspicion.

L’enfermement est probablement la pire des punitions pour Bellatrix. Aussi se sert-elle de la moindre excuse et de la moindre occasion pour fuir le manoir ; alors lorsque Narcissa l’invite chez elle, elle accepte sans la moindre hésitation. La dernière fois que les deux sœurs se sont vues ne remonte pas à si loin que cela, mais la belle ténébreuse aime passer du temps avec sa cadette. Narcissa représente l’innocence et la candeur qu’elle n’a jamais possédée. Depuis son plus jeune âge, et surtout ne voyant pas d’héritier mâle apparaître, on a tout de suite mis Bellatrix dans le grand bain ; à elle de se débrouiller pour apprendre à nager et à garder la tête en dehors de l’eau. Pour Narcissa et la traite à son sang dont Bellatrix ne prend plus la peine de prononcer le nom, les choses ont été nettement moins dures. Et d’un autre côté, heureusement que c’est elle qui est née en première car Narcissa n’aurait pas eu les épaules suffisamment solides pour supporter toute la pression qu’on lui a infligé, ainsi que la dureté avec laquelle on l’a traitée.

A l’heure du rendez-vous, Bellatrix transplane directement à l’entrée du Manoir Malefoy. Devant elle se dresse cet immense portail qu’elle ne tarde pas à franchir de sa démarche féline ; dos bien droit, menton fier, et hanches qui se balancent en cadence. Ses prunelles fixent l’immense demeure qui s’agrandit au fil de son approche. Narcissa aussi arbore un mariage réussi. Outre le fait que Lucius Malefoy offrait un bon parti, les deux se sont mariés d’amour. Une chance que la belle ténébreuse n’a pas eu. Mais d’un autre côté, cela n’aurait eu aucune chance de se faire puisqu’elle n’a jamais ressenti le moindre sentiment pour un homme – hormis cette fascination et adoration qu’elle a pour le maître, mais il ne s’agit nullement là d’amour. L’amour est un sentiment surfait. Il rend faible. Son propre mariage avec Rodolphus est très bien comme il est, aucune attache ne les lie ; mis à part cette espèce d’affection qu’il a pour elle, mais ce n’est nullement réciproque.

La distance qui la sépare de la porte s’amenuise de plus en plus, et Narcissa ne tarde pas à apparaître dans l’encadrement. Un sourire vient se peindre sur ses lèvres carminées tandis qu’elle monte les marches une par une. Voir sa cadette est toujours un délice, une rencontre attendue, promesse de plusieurs heures à passer ensemble sans que rien ne semble obscurcir le tableau. Une fois arrivée à sa hauteur, les lèvres de Bellatrix se décollent enfin.

Cissy, tu es resplendissante !

Les compliments ne sont pas monnaie courante chez elle. Mais sa cadette est probablement le seul membre de sa famille dont elle éprouve une certaine affection. Les autres n’ont pas beaucoup de valeur à ses yeux. Pourquoi se forcerait-elle à apprécier des membres de sa famille qui ne l’ont jamais réellement soutenue lorsqu’elle a souhaité démontrer qu’elle valait beaucoup plus ? Il n’y a aucun intérêt. Il n’y que Narcissa qui ait réellement cru en elle, et qui l’a encouragé lorsqu’elle en avait besoin.
(c) princessecapricieuse

Aller en hautAller en bas