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ADELAÏS STARK ♚ By the order of the fucking Stark

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Adélaïs Stark
— naissance 11 novembre 1949 — Nationalité. Américain — Statut civil. Fiancé à une femme qu'il n'a vu qu'une seule fois — Nature du sang. pur dit-on — Métier. sans activité fixe — Baguette. C'est une baguette en bois de chêne blanc, munit d'un cœur en plume d'oiseau tonnerre, d'une longueur de 31cm, assez épaisse et flexible mais difficilement. — Compte Gringrotts. plein à craquer. Grace à une mère qui n'a jamais la main leste quand cela concerne l'héritage. — Allégeance. Neutre, bien que sa mère le pousse à prendre partie — Maison. Oiseau Tonnerre, la maison destinée aux aventuriers à Ilvermorny — Featuring. Adam Driver — Votre groupe. Rose

CURIEUX
HAUTAIN
FRANC
TACITURNE
JUSTE
COLÉRIQUE
INTELLIGENT
SARCASTIQUE
LOYALE
IMPULSIF

Présentation du moldu

Moi c'est Soul , j'ai 21 printemps à mon actif et je vis à Bordeaux, et franchement, c'est beau quand même . J'ai découvert le forum via une pub et je pense être actif au moins 4/7. Pour finir, j'aimerais dire VIVE SERPENTARD .
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Story of my life


Cette histoire ne commence pas avec une douce histoire d'amour. Elle commence avec la déchéance d'une femme que tous prisaient pour sa divine beauté. De long cheveux noir, l'air ténébreuse et si avenante, que tous se bousculaient pour l'épouser. Elle ne fit jamais rien de plus que sourire, elle qui sondait si bien les âmes et devait se contenter de l'ignorer. D'ignorer la façon dont chacun la traitait, ce que chacun pouvait en penser, aussi vulgaire soit leurs idées. Et cette femme objet, que tout semblait pousser à bout, cultiva une haine profonde qu'un célèbre mage noir su utiliser et manipuler à sa guise pour lui donner l'impression d'être moins qu'un pantin. Elle vit son émancipation poindre, ce qu'elle fit, se démarquant comme une femme forte, comme une femme, manipulée par le grand mage noire. Alors comment devait-elle réagir, si un jour un moldu l'abordait de la façon la plus cordiale et la plus agréable qui lui ait jamais été donné de voir ? De sentir ? C'était contre toute les vérités que Grinderwald lui avait soufflé, et pourtant ... Le jeune homme naïf la suivit longuement ainsi, et malgré elle, esseulée, et consciente d'être manipulée, elle céda. Céda à l'amour sincère, céda simplement au regard d'un homme dont elle oublia tout les travers. Parce qu'elle se sentait aimé pour la première fois, elle avait l'impression de ne plus être qu'un objet, elle qui, par respect pour ses parents, s'était toujours plié à n'importe quelle volonté. Pour une fois, elle vivait, pleinement, en essayant d'oublier qu'il n'était qu'un moldu. De ceux qui l'emprisonnent plus encore et la force à se cacher. Peut être que toute cette histoire finalement commence avec une histoire d'amour, et naturellement se finit très mal.

La jeune femme apprit de ses erreurs, et sûrement le marionnettiste qui la maintenait y était sûrement pour quelque chose, mais toujours est-il que du jour au lendemain, le jeune homme la laissa. Comme ceux qui précédèrent, une fois lassé de sa douce beauté, une fois qu'elle eut osé ouvrir sa bouche pour s'exprimer. Folle de rage, trahis et plus seule que jamais, elle s’exila, fuyant le mage noire, et jurant vengeance à tout ceux qui un jour se sont moqués d'elle, qui un jour ont osé usé d'elle. Saisit par la rancoeur, la jeune femme d'une beauté transcendante au sourire éclatant devint la taciturne et triste mère qu'elle est encore aujourd'hui. Portant l'enfant de son moldu, elle trouva un homme, un sorcier influant avec qui se marier pour ne pas en plus se faire huer. Il eut suffit d'un impero, pour que le bougre  de sorcier qui lui sert de mari,  se taise et hoche lascivement de la tête dans un coin. Alors reniant sa famille, reniant ses origines, la jeune femme prit le nom d'une ancienne famille de sang pur disparu depuis des années, prônant une nature de sang qui n'est pas sienne, elle qui est née sang-mêlé. Ainsi, les Stark vinrent à renaître de leur cendre comme s'ils n'avaient jamais disparu, alors que la jeune femme reconstruit sa vie avec son riche mari loin de sa tendre maison – à New York. Ils devinrent de nouvelles personnes, des inconnus, des usurpateurs, mais ce que les gens ignorent, ne peuvent pas leur faire de tort. Alors ce qu'elle avait imaginé se profilait. Ses enfants seraient sa fierté, et chacun à leur façon feront régner un nouvel ordre dont elle pourrait se proclamer reine mère. Elle eut ainsi dix enfant, répondant respectivement aux noms de Staninslass,  Uzeyir, Peran, Raven, Edgar, Mephisto, Adélaïs, Timotheus, Isla et le petit dernier Ethan. Parfois elle se regarde dans la glace, fixant son sourire brisé surmonté de larmes glacé.

C'est dans ce monde construit par une mère castratrice, que vint Adélaïs. Précédé de six grand frère, et suivi d'une petite sœur et de deux autres petits frères, il n'était ni l'entre deux, ni le premier, ni le dernier. Ce n'était qu'un de plus sur la liste. Celui qui fut contaminé à un si jeune âge, que l'histoire ne lui évoque aucun souvenir. Celui qui fut mordu à son insu et fut torturé chaque pleine lune depuis par la douleur de ses transformations forcés. Celui a qui on a volé le destin pour quelques sombres desseins. Celui qui partageait sa chambre avec ses frères et sœurs, enviant les plus grand pour avoir la leur. Celui qui faisait des cabanes avec ses draps, jouant à se prendre pour un aventurier quand ce n'était pas Edgar qui leur contait quelques visions miroitante. Adélaïs c'était l’insouciance et l'esprit sauvage, le monstre calme et affectueux, qui comme sa sœur et ses frères, retenait sa respiration quand dans la nuit parfois, ils entendaient le pas droit de leur mère, fort et impénétrable, résonner dans les chambres ou personne ne dormait alors. Elle l'effrayait autant qu'il pouvait l'aimer. Elle était intransigeante, extrême et trop autoritaire, mais il ne pouvait s'empêcher de chérir ses sourires, ses très rare étreinte, et plus encore, il souffrait terriblement des chagrins de sa mère. Ce lien étrange les liait tous à leur mère, dont les humeurs changeaient drastiquement au grès de ses bonnes volonté. Un jour elle les chérissait, le lendemain, elle donnait l'impression de pouvoir les tuer. Mais heureusement, ils étaient là les uns pour les autres pour supporter le climat compliqué du manoir.

Adélaïs dévorait à grande bouché la naïveté de l'enfance, grandissant, jouant, se chamaillant, vivant, écoutant, comme le garçon de la haute qu'il était avec ceux qui n'étaient autres que ses meilleurs amis pour lui, sa famille. Faisant mine de ne plus se dire que son prétendu père avait un regard maussade et vide. Essayant tant bien que mal de se dire que l'air inquiétant de sa mère était normal. S'efforçant de se convaincre qu'elle avait tout droit sur lui, sur eux, et que chacun de ses mots étaient criant de vérité. Tout était normal dans cette maison. De l’acharnement de certains à être parfait, aux méthodes extrêmes de sa mère. Tout était normal. Et dans le noir abyssale du fond de ce cachot – où sa mère le jetait les soirs de pleines lunes, ou quand il avait le malheur de jouer, de menacer, de vive voix de ses dents, ou de ses ongles – Adélaïs contait ces faits à l'autre. Celui qui se dessine et se dévoile dans l'obscurité, lui et ses yeux globuleux et jaunâtre, friand de chair fraîche, particulièrement de celles qu'il chérie.

Les années passèrent ainsi, à seulement côtoyer ces mêmes personnes, qui pour lui, représentait le monde dans cette ville si peuplé. Mais comme chacun d'entre eux, le jour vint ou il du partir étudier dans l'illustre Ilvermorny ou six de ses frères étaient déjà passés. Un Stark de plus, soufflèrent-ils à l'unisson, l'air dépassé par ces petits princes dont la réputation se faisait entendre. Mais celui-ci était différent. Il ne fût pas nommé érudit, ou guerrier, comme tout les autres. Non, lui fût nommé aventurier, et fût le premier Stark à trouver sa place dans la maison des Oiseau-Tonnerre. Pour la première fois, il se retrouvait seul face à des inconnus. Sa réputation le suivant, personne n'osait s'approcher du petit prince, de peur de froisser les aînés, de peur de confirmer quelques sombres rumeurs qui courraient. Alors le gamin qu'on eut dit tant de fois monstrueux, gardait le menton levé, passant l'air hautain de classe en classe, l'air intouchable et impénétrable. Brusquement, il passait de trop de présence à rien, et pour la première fois, il découvrit ce qu'était la solitude. Car même dans la cave ou sa mère l'enfermait, il avait l'impression que l'autre était là quelque part. Mais cette fois, il était bien seul. Sentiment acre et désagréable qui ne su coller trop longtemps à son palais. Alors que le Noël de sa première année arrivait, quelques fourbes gamin eurent pour idée de s'en prendre au péteux ténébreux qui jamais ne baissait les yeux plus bas que l'horizon. Ils s'en donnèrent à cœur joie pour coincer le petit, qui n'eut d'autre choix que de leur répondre. Il n'en était pas à sa première farce, ni à sa dernière, et sans trop de vantardise, il s'avouait être l'un des meilleurs dans ce domaine. Ces chamailleries durèrent quelques semaines, et se terminèrent sur une trêve. Il serra alors respectivement la main de Bartholomeus, Altaïr, Acturus et Rigel, qui devinrent ses meilleurs amis, en ce jour, et pour le reste de sa scolarité. Le joyeux et rêveur Adélaïs qu'il était pu s'exprimer, loin des regards incandescent de sa mère qui ignorait tout de leurs travers. Ce alors qu'ils se retrouvaient, contaient d'ancienne histoire perdue, rêvant de les dévoiler au grand monde, de changer le cours de l'histoire, de refaire le monde. Ce n'était que des enfants en quête d'un nouveau monde. Des gamins enchantés, qui rêvaient nuits et jours de s'échapper. Et Adélaïs s'accrochait à cette idée, dans l'espoir de fuir cet autre qui le poursuivait. Même dans la joie, il était là, assit dans son ombre, à attendre chaque pleine lune pour le refaire sombrer. C'est ça qui l'empêchait de fermer les yeux le soir. Alors que ses camarades ronflaient, lui, tremblait dans le noir de la nuit, plus effrayé que jamais, avec la désagréable impression d'être de retour dans la cave des Stark, à attendre que l'autre ne sorte de son corps. En cachette alors, il laissait sa baguette l'éclairer d'un Lumos.

Et la discorde fut de mise un jour, dans ce calme trop parfait qui s'équilibrait parfaitement entre ses bonnes notes, ses pleines lunes à s'enchaîner seul dans un coin du château délaissé, à s'occuper de sa famille et à s'imaginer reconstruire le monde avec ses amis. Mais il fallait qu'il y ait un mais. Tout est parti d'une fille. Solitaire comme eux, sauvage même. Arrivée au beau milieux de la quatrième année, seule et esseulée. C'est à lui qu'elle vint, du moins c'est ce qu'elle affirma quand ils se retrouvèrent par hasard dans un coin étriqué du château, là où il nourrissait les quelques nuisibles et autres squatteurs. Parce qu'Adélaïs se sentait relativement proche de la nature, et portait un intérêt tout particulier aux animaux. Ainsi, il venait souvent se réfugier là ou personne n'allait pour s'occuper des êtres magique et autres animaux. Et ces rencontres inopinés, entre la nouvelle et Adélaîs, se répétèrent, encore et encore, seulement parce que tout deux cherchaient les endroits les plus reculés pour seulement profiter du silence et des animaux, ou de la solitude et ne pas sembler trop seule. Alors, vive furent les réactions quand il ramena la jeune fille à une de leur réunion, faisant s'élever les exclamations de stupeurs et de contrariété. Jalousie et autres esclandres furent de mise, jusqu'à ce que cette dernière soit finalement acceptée, elle et ses airs sauvages de garçon manqué. Ils n'en furent que plus bruyant et dérangeant, certains toujours dominé par un brin de jalousie mal placé, d'autres y voyant une superbe opportunité. Mais jamais la jeune fille qui répondait au nom de Zaïra, ne fut aussi bavarde qu'elle le fût avec Adélaïs. Parce qu'ils étaient tout deux maudits, et que malgré lui, il venait d'offrir un semblant de famille à une gamine qui en avait sûrement trop vu.


Mais les années passèrent, et certains changèrent. Ils virent Bartholomeus se faire discret, et s'armer de mauvaises excuses pour les esquiver. Peut être par amour, ou par désillusion, toujours est-il qu'un d'entre eux décida de quitter le bateau. Certains mirent cela sur le compte d'un mauvais penchant. Sûrement vexés, ils l'accusèrent de prendre partie pour ce qu'il se passait en Angleterre, mais jamais ils n'en reparlèrent véritablement, ne souhaitant pas plus élever les voix. Puis ce fût au tour d'Altaïr, qui fût expulsé après avoir été accusé d'avoir gravement mutilé une élève. Celle qui traita Adélaïs de monstre, celle qui brisa son cœur d'adolescent pour trois fois rien. Jamais aucun d'eux n'eurent le dernier mot de cette histoire étrange, de pourquoi Altaïr malgré toute ses bonnes raisons, lui qui était si calme, avait réagit ainsi, et Altaïr ne se prononça jamais sur son acte. Il dût partir. Cette petite bande fut largement réduite, mais le peu qui en restait se jura fidélité pour une bonne éternité. Ainsi, leurs rêves d'enfants devint réalité quand ils furent diplômés. Adélaïs vendit son aventure tel un bobard mal tourné, l'air de dire que la connaissance les ferait dominer, et peut être par clémence ou naïveté, sa mère concéda à le laisser s'en aller. Sûrement n'avait-elle pas complètement saisit ce jour là, alors que son air vide et triste annonçait les grands pleurs de ses regrets. Toujours est il, qu'Adélaïs était prêt à partir, alors qu'il travaillait pour le ministère américain, quand son aventure commença. Acturus, Rigel, Zaïra, ainsi qu'Altaïr, s'en allèrent pour diverse aventures, sillonnant le monde à la recherche de réponses et de mystères. Lui qui se passionnait pour les runes, les magies perdus, les objets magiques, maudits, et toute ces choses qui étaient là, quelque part à l'attendre ;  était plus enthousiaste que jamais, et il avait la douce impression de vivre la vie qu'il s'était imaginé, sans la pression d'une mère qui les sommait si fermement d'être parfait. Ils vécurent de rien, au jour le jour, seulement armés de leur baguette et de leur volonté. Adélaïs se senti alors libre pour la première fois de sa vie, contant à ses frères et sœurs à travers des centaines de lettres, son avancé, ses aventures et le délice que procurait cette curiosité au fond de lui. 

Mais le conte de fée ne pouvait pas durer. Un jour, Adélaïs réceptionna une lettre de sa mère qui le sommait de rentrer sur le champ. Les yeux vitreux de son prétendu père, lui revinrent en tête, et il n'eut pas le courage de la contrarier et de s'exposer à un tel sort lui aussi. Car il n'était pas dupe, il avait bien vu le vieil homme peiner à porter son propre sourire. Au fond de lui, il avait toujours su, et il savait sa mère capable de lui faire de telles atrocités. Et puis sa famille lui manquait. Comme à chaque fois qu'il avait le malheur de renouer, il se donnait milles et unes excuse pour pencher de son côté. Et ce, malgré tout le chemin accompli. Si proche du but, ils exprimèrent tous leur contrariété à le voir partir, et une violente dispute éclata. Le fils à maman qu'il était ne plaisait guerre à ses amis de longues dates, ni cette façon qu'il avait de s'accrocher aussi férocement à sa famille. Il refusa d'entendre quoique ce soit et jura de partir à l'aube, peu importe leur avis. Altaïr n'y tenant plus, se lança à corps perdu dans la grotte qui enfermait le fruit de leur voyage, pour prouver que ce qu'ils faisaient, valait bien plus que tout ce que sa mère aurait à lui donner. Car intimement il espérait le convaincre de ne pas s'en aller. Sans lui, c'était différent. Ça manquait de sarcasme et d'attitude insupportablement hautaine.  Altaïr n'était pas prêt à renoncer à sa présence pour les volontés bipolaire de sa mère, Altaïr voulait qu'il soit libre. Altaïr voulait qu'il reste avec lui. Alors il affronta le danger. Ils le suivirent pour l'en empêcher, mais ne purent que constater le désastre qu'ils avaient provoqués. Une montagne d'inferis dévorait déjà le trop passionné jeune homme qu'était Altaïr quand ils arrivèrent à sa hauteur, alors que désespérément, leurs baguettes s’enflammaient dans un dernier espoir pour le sauver.

Ils mirent une année à en parler, à se recontacter, sûrement s'évoquant les uns les autres, les images déchirante de leurs amis succombant à la grippe des morts-vivants. Acturus et Rigel lui donnèrent alors, doucement mais sûrement de nombreuses nouvelles, continuant de rêver de leurs aventures, espérant un jour, terminer ce qu'ils avaient commencé. Sur son bureau, il y avait une lettre d'Altaïr qui, d'après sa note, a été écrite avant qu'ils ne partent vers l'inconnu. Lettre qu'il n'eut jamais le courage d'ouvrir. Puis, il y avait Zaïra, la maudite enfant avec qui il avait partagé la douleur d'un même fardeaux, ou presque. Cette même Zaïra qui ne donna jamais retour à ses dizaines et dizaines de lettre désespérés. A présent, il vaguait à l'écriture d'un ouvrage pour compléter ses connaissances des runes, entre le ministère et le manoir des Stark. Ce, pour que la matriarche puisse observer par dessus son épaule ce qu'un simple monstre de foire avait de si intelligent et intéressant à dire. Car peut être aurait-il plus d'intérêt encore s'il s'avérait aussi érudit qu'Edgar ou encore Stanislass. Lui, retrouva la douceur de la fraternité, cette rivalité amusante et cette chaleur réconfortante. Ce rien qui lui avait manquait et pansait toute ses plaies. Doucement il pensait à peut être poursuivre son rêve, car doucement, épaulé par sa sœur et ses frères, il sentait le courage lui revenir. Mais le monstre qui doucement acceptait un autre destin, se vit séparé de toute opportunité de liberté. Sa volonté fut scellait à un bal de mondanité. Alors que le climat devenait de plus en plus compliqué en Angleterre, les sang pur se réunissaient l'air de festoyer l’avènement de leur pureté. Adélaïs ne savait trop quoi en penser, mais sa mère semblait s'en réjouir alors il souriait. Elle qui leur avait tant de fois répété que jamais ô grand jamais ils ne devaient approcher des moldus. Eux et leur égoïsme, disait-elle, eux et leur folie destructrice, ils ne sont bon qu'à faire du mal. Effrayé par ces histoires, jamais ils n'osèrent aller contre sa volonté. Adélaïs buvait tout ce qu'elle disait, pour son sourire et ses caresses, en évinçant les hurlements et les claques.

Ainsi, à ce repas mondain, peuplé de famille haut placé, il fit acte de présence sous la demande de sa mère. Il savait que c'était l'occasion d'aller vers les autres, de trouver une fiancé et d'accomplir la volonté de sa chère mère adorée. Mais elle même disait que c'était un monstre, que ses gênes étaient dangereux, alors pourquoi se donner la peine alors que neuf autre se donneraient à cœur joie ? Ce n'était pas de sa trempe. Certains de ses frères ne se firent pas prier, Surtout Edgar, qui après quelques tentatives, tomba sous le charme d'une magnifique jeune femme. Il n'avait plus que son nom à la bouche, il ne parla que de cette dernière pendant des semaines pour aucune raison valable. Rosaline, chantait-il à tout va. Jamais Adélaïs ne l'avait vu si épris de qui que ce soit, et si désespérément amoureux. Alors quand leur mère leur annonça que l'un d'entre eux allaient épouser cette jeune femme, Adélaïs fut soulevé d'un sentiment de joie et de fierté envers son frère, mais jamais il ne fut si accablé et désemparé quand il entendit son nom sortir de la bouche de sa mère. Adélaïs épouserait Rosaline, et selon sa mère, puisque de tous, il était le seul à ne pas avoir flanché devant sa beauté et ne lui avoir démontrer aucun intérêt. Il était pour elle, le seul à pouvoir sincèrement l'aimer. Elle foudroya alors du regard Edgar qui, forcément, voulu contester sa décision. Seulement, elle n'avait aucune compassion et empathie a accordé à un homme, bien que cela soit son fils, qui n'avait d'yeux que pour la beauté d'une femme. Sans broncher alors, Adélaïs accepta. Il avala goulûment chacun de ses mots jusqu'à se convaincre lui même qu'un jour, comme sa mère le disait, il l'aimerait, et que son frère, son cher frère, ne faisait que se bercer d'illusion à l'aimer pour son unique beauté.

Il conta la nouvelle à ses seuls amis, ne sachant à qui se confier, se donnant l'air de vouloir crier alors qu'il voulait se persuader que ce mariage serait pour le mieux. Zaïra ne répondit pas, une fois de plus. Et sûrement pensa-t-il comprendre quand un chat noir, agrippant fermement une baguette entre ses dents, gratta à sa fenêtre désespérément. Le félin maigrichon et accidenté reçu immédiatement et naturellement les meilleurs soins que cet amoureux des animaux pouvait lui procurer. Il reconnu sans le moindre mal la baguette de celle qui avait disparu depuis si longtemps, ce alors que le chat qui semblait mieux se porter de jour en jour lui démontrait une certaine animosité. Il n'aurait cru qu'à une coïncidence s'il ne la connaissait pas si bien, si elle ne lui avait pas dévoilé la nature de sa malédiction, si elle ne lui avait pas avoué qu'un jour, elle ne serait plus que cela. Sûrement lui en voulait-elle, et il ne pouvait lui en vouloir car lui même était tourmenté par les mêmes remords. Il savait pertinemment que sa condition définitive était dû à un choque émotionnel trop fort. Le genre qu'elle n'aurait pu supporter, le genre qu'il aurait pu prévenir s'il avait été avec elle. Peut être pour la première fois, il se permit de pleurer, pour Altaïr, pour Zaïra, et pour lui. Tout ce qu'il pensait solide s'effritait doucement entre ses doigts, déconstruisant ce qu'il a toujours été. Celui qui a cru et bu les mots d'une mère dont aujourd'hui il doute. La seule chose qui s'efforçait de le maintenir était encore le déni dans lequel il se noyait. Il ne devait pas se laisser ronger par le doute, il ne devait pas laisser place à ce genre de pensées. Tant qu'il suivrait la parole de sa mère ça irait. Ce pourquoi il s'engagea à l'autre bout du monde dans un pays ou la guerre se prépare. Un endroit où il ne veut pas mettre pieds pour ce fait, car il ne sait pas où se placer. Entre sa mère qui le pousse à suivre un mouvement contestable, et cette chose au fond de lui qui ne réclame que la paix. Mais sans broncher, il s'est engagé à voyager vers l'autre rive de l'océan, parce que sa mère veut qu'il veille sur sa fiancé. Parce que sa mère veut qu'il s'assure qu'elle ne lui fasse pas honte. Parce que sa mère désire plus que tout au monde asseoir le règne des sangs pur. Déchiré et plus seul que jamais, Adélaïs parti, destiné à rester enfermé, seulement accompagné de ce fidèle chat Zaïra et de cet autre qui rode.
 

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ooooh voila donc le dernier du trio ADELAÏS STARK ♚ By the order of the fucking Stark  2388795868 bienvenue par ici, tu semblais grandement attendu ADELAÏS STARK ♚ By the order of the fucking Stark  3261624969 très bon choix d'avatar puis ce début est prometteur ADELAÏS STARK ♚ By the order of the fucking Stark  1546437200 courage pour la suite ADELAÏS STARK ♚ By the order of the fucking Stark  2517605009
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Saluuuuuuuut toi ADELAÏS STARK ♚ By the order of the fucking Stark  3438411585 ADELAÏS STARK ♚ By the order of the fucking Stark  3438411585
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moi je suis juste subjuguée par adam ADELAÏS STARK ♚ By the order of the fucking Stark  3261624969 Puis après tu passes à la 1ère partie de fiche et j'ai hâte d'en voir plus et encore plus ! ADELAÏS STARK ♚ By the order of the fucking Stark  1840184374 ADELAÏS STARK ♚ By the order of the fucking Stark  3017627514 Et surtout de trouver un lien avec Monsieur, c'est beau on est tous des étrangers ADELAÏS STARK ♚ By the order of the fucking Stark  3261624969

Bref encore bienvenue et courage pour la fin de cette rédaction ADELAÏS STARK ♚ By the order of the fucking Stark  1802487733
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bienvenue ADELAÏS STARK ♚ By the order of the fucking Stark  1756532515 ADELAÏS STARK ♚ By the order of the fucking Stark  1756532515
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Omg Adam Driver <3 ! Excellent choix d'avatar msieur :D !
Puis la fiche a l'air très intéressante. J'ai hâte d'en lire plus et voir ce que vous allez donner avec ce trio.
Et d'ailleurs je viendrais quemander un petit lien, parce que Marlene est étudiante en Runes depuis sa sortie de Poudlard, pour être briseuse de sorts chez Gringotts et qu'un maître en la matière puisse participer à son apprentissage ça serait cool.

Bienvenue par ici et bon courage pour le reste de ta fichette ;)
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Bienvenue !!! J'espère que tu vas te plaire sur RoD ! Si jamais tu as des questions, n'hésite pas (a)
Moi j'en ai déjà une ! ADELAÏS STARK ♚ By the order of the fucking Stark  2388795868 chercheur aux départements des mystères > c'est langue de plomb ? ou tu inventes un nouveau métier ? ADELAÏS STARK ♚ By the order of the fucking Stark  2001477124 ADELAÏS STARK ♚ By the order of the fucking Stark  3936102363
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bienvenue parmi nous ADELAÏS STARK ♚ By the order of the fucking Stark  2854071728
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:fouet:
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