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[MISSION MM] Mettre la pression, Voldy sait faire, et toi ? { Caius }

Lord Voldemort

Lord Voldemort


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Soirée du 5 août 1979, manoir des Avery.

Lord Voldemort contemple le feu qui brûle dans la cheminée en plein mois d’août. Il sert à couper le cru de ces grandes pièces au plafond haut, à apporter un peu de vie dans cette maison désormais bien vide dont le propriétaire travaille plus tard au Ministère, laissant ainsi à son Seigneur la possibilité de jouir de son bien comme il l’entend pendant encore quelques heures.

Ses pensées s’égarent, seule l’horloge qui sonne les neuf heures le ramène dans le présent. Le dernier coup retentit et au même instant, il entend le son grave d’une porte trop grande qui tourne sur ses gonds huilés.

Caius Nott n’a pas une seconde de retard. Lord Voldemort ne se retourne pas quand l’elfe de maison l’introduit dans le salon. Il ne l’invite pas non plus à s’assoir. Au contraire, il reste ainsi à regarder les flammes danser pendant encore une longue minute. Puis sa voix froide fend le silence :

— Lord Voldemort a une mission à te confier, Caius. Une mission importante qui nécessite une certaine verve.

Avery aurait été parfait pour la remplir mais le Seigneur des Ténèbres ne peut risquer qu’on les relie l’un à l’autre, pas alors que sa maison sert de geôle et de quartier général. Nott est son second choix dont il n’a plus testé les capacités depuis trop longtemps à son goût.

— Il y a une lettre sur la table basse que tu vas remettre au Ministre de la Magie en main propre. Elle contient une liste d’exigences auxquelles il doit accéder s’il tient à sa fille, Élisabeth. Tu lui diras qu’aucun mal ne lui a été fait, Lord Voldemort y a veillé. Elle dort d’un sommeil magique à l’étage dans une pièce close. Tu lui diras qu’elle lui sera rendue s’il obéit promptement. Tu lui préciseras que Lord Voldemort a conscience que certaines demandes prendront un peu plus de temps et qu’il le comprend. Il lui laisse un mois, à compter de ce soir, pas un jour de plus.

Le mage noir tait le contenu précis de la lettre. Le Ministre la lira peut-être devant Caius en la commentant, peut-être pas.

— Tu as tes entrées au Ministère. Tu sais que le Ministre se terre dans son bureau depuis l’attaque du Chemin de Traverse où d’autres ont fait ma fierté. Va donc le retrouver. Cache ton identité comme bon te semble. Tu n’es pas un idiot, n’est-ce pas, Caius ? Va, maintenant. Et fais en sorte qu’il cède, peu importe les moyens que tu emploieras. Lord Voldemort ne veut pas faire souffrir une sœur sorcière parce que son père est un idiot.

Mais il n’hésitera pas.

Sans lui avoir accordé un seul regard, Lord Voldemort se plonge à nouveau dans un silence qui s’étire, le temps que son fidèle prenne congé.



MJ :
Cher @Caius Nott, Lord Voldemort te confie une mission capitale pour la suite des évènements ! Voici quelques informations utiles :
- Cette scène est introductive, tu ne dois pas y répondre. Ton post commencera au Ministère, quand tu pénètreras dans le bureau de notre Ministre. Il devra contenir le détail de ton déguisement, de ton entrée, de la manière dont tu réussiras à avoir l’attention discrète du Ministre pendant au moins quelques minutes.
- Après chaque message que tu posteras, tu devras tirer une fois le dé du hasard qui déterminera ton degré de réussite ou d’échec. Pour rappel : un chiffre pair = réussite. Un chiffre impair = échec. Plus le chiffre est haut, plus la réussite / l’échec est conséquent.
- Il t’est demandé de répondre à chaque fois dans un délai de trois jours maximum auquel cas la mission sera considérée comme échouée. Nous imposons ce délai afin de nous assurer que ce sujet ne traine pas trop puisqu’il va déterminer l’avenir de l’intrigue du forum. Le MJ s’engage à te répondre dans un délai similaire. Sache que comme il s’agit d’une mission, ton message peut être moins long tant qu’il fait minimum 150 mots.

Si tu as la moindre question, tu peux l’adresser par MP à @Alastor Maugrey.
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Journée du 6 août 1979, Ministère de la Magie.


Tout ce que vous désirez maître. cette phrase que j’avais prononcé la veille résonnait encore dans mes oreilles, un arrière-goût amer sur la langue. Bien évidemment, j’étais toujours fidèle aux idéologies du Lord, mais je me savais de nouveau en danger. J’avais bien trop profité de mon statut et de ma blessure en oubliant les dangers que cela représentait de le servir lui, je ne pouvais pas être sur mon piédestal indéfiniment sans faire mes preuves et le moment de lui faire honneur était de nouveau arrivé. Un soupire s’échappa de mes lèvres tandis que je quittais discrètement l’allée des embrumes après avoir récupérer le Polynectar que je comptais utiliser. Depuis l’attaque du Chemin de Traverse peu de monde avait accès au bureau du Ministère qui restait enfermé toute la journée loin de tous. Seuls les chefs des différents départements avaient un accès limité, mais également Miss Dwright, sa secrétaire. L’idée de me transformer en femme ne me plaisait absolument pas, mais c’était la seule qui avait un accès régulier au Ministre sans que cela attire les regards. Il fallait juste que je me débarrasse de cette stupide blonde et je pourrais gérer la mission du Lord. Une fois rendue devant le bureau du Ministère la fameuse demoiselle m’arrêta m’indiquant que je ne pouvais pas voir le Ministre. Un sourire charmeur sur les lèvres je m’assis en face d’elle en rigolant doucement. Voyons Miss Dwright c’est vous que je venais voir. Je me demandais si vous me feriez l’honneur de votre présence pour le déjeuner. Dis-je d’une voix mielleuse et grave qui fit rougir la secrétaire. Je ne sais pas si c’est une bonne idée je dois apporter le repas au Ministère et je…commença-t-elle avant que je ne l’interrompre d’une voix douce, mais ferme. Vous avez ma parole de gentleman que vous seriez de retour à l’heure ma chère. Et puis, j’ai besoin de compagnie vous comprenez je me sens seule depuis que ma femme m’a quitté… Finis-je de dire laissant ma voix se casser sur le dernier mot. Si Cynthia m’entendait et me voyait, elle serait probablement en train de rire aux éclats, tandis que je me servais de sa mort comme excuse pour accomplir une mission pour mon maître à qui je mens depuis des années. Néanmoins, mes talents d’acteurs semblaient être convaincants puisque la secrétaire accepta. Je m’étais relevé et approché d’elle avant de lui tendre mon bras tel le gentleman que je prétendais être. Sur le chemin je prétextai avoir oublié de signer un papier important que je donnerai à mon stagiaire et nous firent un détour par mon bureau, alors qu’elle entra la première j’utilisai un sortilège pour l’endormir. Je ne l’avais pas utilisé souvent, ainsi je ne savais pas combien de temps cela durait. Par sécurité j’attachai et bâillonna j’attrapai une mèche de cheveux que je rajoutai au Polynectar. Avant de me changer, j’allais prévenir mon stagiaire que j’avais une urgence familiale et qu’il pouvait prendre sa journée je finissais un dossier avant de quitter à mon tour le bureau. Ravi d’être libérer pour le déjeuner et le reste de l’après-midi il ne se fit pas prier et disparu rapidement. Je retournai ensuite dans mon bureau et avala la potion avec son goût abject, une fois que les effets furent finis et que je ressemblais à présent à Miss Dwright j’attrapai la lettre du Lord, pris le plateau repas que j’avais fait préparer par mon elfe et quitta mon bureau que je refermai magiquement au cas où. Que personne ne découvre le corps inconscient de la vraie secrétaire dans mon bureau, j’avais également pris la baguette de la demoiselle et les vêtements qu’elle portait pour ne pas éveiller les soupçons. Je me dirigeai de nouveau vers le bureau du Ministre et toqua à la porte, j’attendis quelques secondes avant d’entrer même sans autorisation. Monsieur le Ministre, je vous apporte votre repas… Soufflai-je attendant de savoir si allais me mettre à la porte ou non, s’il refusait le repas je devrais trouver autre chose pour attirer son attention.
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Harold Michum a le sentiment que le monde tourne au ralenti depuis deux jours. Il ignore où il trouve la force de se rendre au bureau pour affronter la situation d’urgence induite par l’attaque du Chemin de Traverse. Des morts à identifier, des blessés à soigner, des médicomages à soutenir, des aurors à contenir et surtout, surtout… des coupables à trouver.

Personne ne sait pour Élisabeth. Le Ministre de la Magie garde ce secret, le cœur au bord des lèvres, en guettant le maître chanteur qui ne tardera plus. Deux jours qu’il ne dort pas. Son humeur s’assombrit dangereusement, autant que les cernes sous ses yeux. Il feint de travailler. Feint de prêter attention au défilé des chefs de département. Il a réussi à garder son calme devant Barty Croupton –senior évidemment- et a refermé la porte d’un coup de baguette, profondément découragé.

Il ne lui a rien dit.
Il aurait pu.
Il aurait du.
Mais il a peur. Peur pour la vie de sa fille unique, la prunelle de ses yeux. Il tente de se rassurer. Elle n’est pas née moldue. Ils ne lui feront rien. Forcément. Ils ne lui feront rien.

Il sursaute quand son assistante pénètre dans la pièce. Il ne l’a pas entendue frapper.

Quoi ? crache-t-il, furieux.

Son palpitant menace d’exploser tant il bat vite. Il a eu peur, il se pensait seul.

J’ai pas faim, remballez ça et disparaissez.

Il ne veut pas parler, encore moins à Miss Dwright qu’il apprécie beaucoup. Il soupire, pose son front entre ses mains. La culpabilité le rattrape. Il a envie de pleurer.

Excusez-moi, Tatiana, je suis fatigué. Je mangerais tout à l’heure.

Il espère qu’elle comprendra et partira sans chercher à engager la conversation. Tant qu’il n’en sait pas plus au sujet d’Élisabeth, il préfère attendre.
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Journée du 6 août 1979, Ministère de la Magie.


Être dans le corps d’une femme était clairement une sensation que je n’appréciais pas, marcher avec des talons étaient plus dur que ce que je ne l’aurais cru et chose que je ne savais pas c’était également des véritables objets de torture. Comment pouvais volontairement s’imposer ce genre de douleur ? Pour plaire ? Parce que la société à décidé qu’une femme était plus élégante avec ? Qu’importe la raison ce n’était pas suffisant pour faire subir ce genre d’affront à mes pieds. La lourdeur et l’épaisseur de la chevelure de Miss Dwright me faisait encore plus poser des questions sur les femmes, comment pouvait-on apprécier ce genre de poids, j’étais bien ravie avec mes cheveux court et mon corps encombré uniquement de ce fichu genou déraillé.

Alors que j’entrais dans le bureau du Ministre ce dernier répondit avec agressivité et inquiétude ce qui faillit me faire lever un rictus du coin des lèvres, néanmoins je ne montrai rien et me contenta de sursauter comme l’aurais sans doute fait la blonde. Je propose tout de même timidement le plateau repas, retenant une grimace d’agacement quand il le refusa. Je restai immobile sur place pendant quelques secondes, avant de m’avancer en baissant la tête lorsqu’il affirma manger plus tard. Très bien monsieur…Commençai-je en continuant de m’approcher du bureau, une fois à la hauteur je déposa le plateau dans un coin qui ne dérangerai pas. Je vous laisse le plateau ici pour que vous mangiez à votre convenance… Continuai-je en bafouillant et en jouant nerveusement avec mes mains.

Très sincèrement, j’aurais pu être acteur. J’avais mis en évidence la lettre sur le plateau afin que cela attire forcément son regard, néanmoins dans le doute j’allais aborder le sujet. Je tournai les talons et alors que j’avais la main sur la poignée je repris la parole d’une voix suave. Si vous avez besoin de quoique ce soit n’hésitait pas monsieur… La lettre sur le plateau m’a été transmis et on m’a informé que c’était de la plus haute importance… je n’ai pas compris… ça parlait d’un enlèvement alors que rien de tel n’a eu lieu…Finis-je en me retourna regardant directement le Ministre droit dans les yeux, l’incompréhension se lisant sur mon visage.
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Le rectangle blanc cassé attire immédiatement l’attention du Ministre. Son cœur rate un battement alors que ses doigts agrippent le papier. Il l’ouvre en tremblant au point d’oublier de respirer.

Quelques lignes à peine.
Une mèche de cheveux blonds.
Des demandes.
Une promesse.

Le choc le paralyse, pas assez pour le rendre idiot. Pas assez pour ne pas entendre les mots de son assistante.

Tatiana s’exprime d’habitude d’une manière claire, précise, sans hésiter. Si quelqu’un lui demande de transmettre une information, elle demande à répéter. Jamais son assistante ne lui tiendrait un discours comme celui-là, aussi décousu. Elle n’aurait pas tourné les talons pour feindre une mise en scène comme celle-là. Si Tatiana sort, elle n’attend pas qu’on la retienne.

Et en ces temps troublés, le Ministre de la Magie souffre de paranoïa exacerbée. Alors il se redresse et pointe immédiatement sa baguette en direction de sa pseudo-assistante.

Je crois… Non, je suis certain que vous mentez. Qui êtes-vous ? Le messager censé repartir avec ma réponse pour votre maître ?

Le dégoût transpire dans sa voix pour masquer la peur. Le Mage Noir n’exige rien de trop extravagant, pas dans ce premier courrier. Harold pourrait presque se laisser tenter.
Sauf qu’il sait que ça n’en finira jamais. Ce n’est qu’un premier pas pour enfoncer leur société dans les ténèbres. Il ne veut pas être responsable de ça.
Mais il ne veut pas perdre Élisabeth.

Alors il fixe son simulacre d’assistante, persuadé d’avoir vu juste, et il attend. Il attend le mot, la phrase, qui l’aidera à prendre la meilleure des décisions.
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Journée du 6 août 1979, Ministère de la Magie.


Ah. L’acting n’avait pas été le bon au vu de la réaction du Ministre. Je ne connaissais pas assez Miss Dwright pour faire un sans faute et je n’avais pas eu assez de temps de préparation afin de mettre en place mon plan. Je retiens un rictus mauvais du coin de mes lèvres, ce ne serait clairement pas une excuse que le maître trouvera excusable. En réalité, aucun échec n’était permis et chaque mauvais mouvement était une chute directe vers les enfers.

Je me demandais si j’irais directement rejoindre Lucifer ou si le maître me laisserait patauger dans l’humiliation avant de décider de se débarrasser de moi. Une fuite vers le Pérou peut-être, Nana aurait peut-être l’obligeance de me nourrir qui sait.

Je refermai délicatement la porte que j’avais entrouvert et je me retournai entièrement en direction du Ministre, relevant doucement les mains pour les mettre bien en évidence afin de signaler que je n’étais pas un danger pour sa vie. En tout cas, je devais continuer de le prétendre. Le message était passé c’était déjà ça. Une partie de la mission était réussi en soi, maintenant je devais garder mon identité secrète et sauver mes fesses. «Je ne fais que délivré un message, je ne suis pas fou je tiens à ma vie. Et vous aussi, nous savons très bien que ce n'est pas une personne clémente. » Commençai-je à dire d’un ton le plus neutre possible et assuré par les informations que je donnais. Evidemment en tant qu’ancien auror j’avais quelques notions de survie et j'étais clairement en plein dans une situation de crise. «Vous avez conscience que si vous attaquez le messager ce sera mal interprété et vous ne voulez pas que cela influence sur la captivité de votre fille, n'est-ce pas ?» Repris-je d’une voix dénoué de toute trace d'émotion, ce n'était pas réellement une menace juste une vérité qu'il devait croire. Je redescendis lentement mes bras le long de mon corps tout en laissant mes mains en évidence pour ne pas l'encourager à m'attaquer.

Alors que j’attendais la réponse du Ministre en restant immobile, mon cerveau lui était en pleine effervescence à la recherche de plusieurs solutions pour m’échapper de cette situation si jamais cette dernière continuait à s’empirer.  

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La colère embrase les iris du Ministre de la Magie qui s’oblige à conserver un immobilisme total alors même qu’il pointe toujours sa baguette sur l’imposteur face à lui. Quelques phrases suffisent pour le conforter dans ses soupçons : non, ce n’est pas Tatiana qui lui a apporté son repas.

Il a envie de se renseigner, de l’interroger. Qu’est-il advenu de son assistante ? Il craint pour la vie de cette femme qui n’a jamais rien fait de mal et dont le seul crime est d’avoir décroché un poste à son service. Il espère vraiment qu’elle est en vie et qu’elle n’a rien subi. Harold a connaissance des exactions commises par les Mangemorts.

Vous auriez pu vous contenter de déposer la lettre mais vous avez choisi de rester. Pourquoi ? Jouir du spectacle ? Vous n’aurez pas ce plaisir.

Une étincelle s’échappe de sa baguette et va érafler le cou. L’apparence le perturbe. Il aurait causé des dommages plus importants autrement. Avec un peu de chance, la blessure ne disparaitra pas facilement et ses aurors réussiront à le retrouver.

Vous allez me dire où est ma fille, vous allez me le dire tout de suite ou j’appelle quelqu’un qui n’hésitera pas à vous arracher cette information par la force.

Harold n’a jamais été un homme violent, pourtant. Mais pour sa fille, il brûlerait toute l’Angleterre.

Note du MJ :
- Il te reste une dernière tentative pour convaincre le Ministre ! Si tu sors un nombre impair, la mission aura échoué. En fonction du nombre, les conséquences pour toi seront plus ou moins grave. Choisis donc bien tes arguments et n’oublies pas de lancer le dé…
- Pour rester roleplay, je lance un dé qui déterminera le résultat de l'attaque du Ministre sur le cou de Caius. Si c'est un chiffre impair, le sort ne blesse pas Caius. Si c'est un chiffre pair, il le touche.
2 -> Caius est blessé mais c'est superficiel, ça n'aura pas d'autre conséquence que du sang sur ses vêtements.
4 -> Caius est blessé et portera une marque pendant quelques jours, il devra donc se montrer discret durant ce laps de temps (minimum une semaine IRP !)
6 -> Caius est blessé et n'arrivera pas à faire disparaître la marque de la blessure, il devra donc toujours dissimuler son cou d'une manière ou d'une autre au risque d'être repéré en jeu !
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